Purple terminé, le père
Coverdale se cherche musicalement. De cette période
sortiront deux disques "Whitesnake" et "Northwinds"
aux penchants bluesy affirmés mais cependant sans
réelle unité pour chacun d'entres eux. Mister Moody,
Micky de son prénom, accompagne le pas si beau David que
ça dès ce premier album solo. Il restera dans le navire
jusqu'en 1984 et sera l'un des principaux artisans de ce
son si particulier, sorte de hard bluesy dominé par la
voix du Sieur et teinté de Slide électrique. Beaucoup y
passeront moins de temps : John Lord, Ian Paice, John
Sykes ou encore Steve Vai pour diverses raisons
quitteront l'aventure en cours de route. Petite visite !
TROUBLE
1978
6/10
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Premier album véritable de
WHITESNAKE. Léquipe est (presque) au grand
complet (il manque Ian Paice aux fûts) pour un
premier jet, certes approximatif, mais le fond de
commerce est bien présent. On
retiendra : lie down
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LOVEHUNTER
1979
7/10
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Plus affirmé que le premier,
Coverdale y chante avec plus de convictions et de
rage pour un disque plus complet. On
retiendra : walking in the shadow of the
blues love hunter
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READY
AND WILLIN' 1980
9/10
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La machine est définitivement
lancée avec celui ci. Moody, plutôt à
lécart sur le précédent revient en forme
et co-signe environ la moitié des titres. Ian
Paice est là.Tout baigne pour un excellent album ! On
retiendra : fool for your loving
sweet talker blindman aint
gonna cry no more
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COME
AND GET IT 1981
10/10
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Excellente suite, encore plus slide,
encore plus blues, un très bon moment.
Dont break my heart again fera un carton en
Angleterre. On retiendra : come and get it
dont break my heart again
child of Babylon till the day I die
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SAINTS
AND SINNERS 1982
9/10
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Bernie Mardsen est sur le depart,
Mel Galley le remplace pour un disque là encore
tout à fait honnête. Le groupe sessaye à
la power ballade sur here i go again. Le son
est toutefois plus agressif, sans doute
influencé par la NWOBHM en pleine gloire. On
retiendra : young blood crying in the
rain here i go again saints and
sinners
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SLIDE
IT IN 1984 - G-B
10/10
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Le disque de la fin pour beaucoup,
le serpent blanc abandonnant presque tout ce qui
faisait son identité jusquà ce disque :
le côté bluesy. Moody, Lord et Galley
quitteront le navire, Ian Paice est déjà parti.
Seul Neil Murray à la basse restera
jusquau prochain. On
retiendra : slide it in love
aint no stranger slow and easy
standing in the shadow
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SLIDE
IT IN 1984
9/10
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Version hors Grande Bretagne sur
laquelle John Sykes vient rajouter quelques
guitares. |
1987
9/10
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Sykes est aux commandes et signe la
plupart des titres (à lexception des
nouvelles versions de crying in the rain et de
here i go again) pour un ensemble teinté très
heavy rock américain. Le son Whitesnake a
disparu mais ce disque reste malgré tout un must. On
retiendra : still of the night give
me all your love children of the night
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SLIP
OF THE TONGUE 1989
3/10
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Sykes parti sitôt
lenregistrement du precedent terminé, on
retrouve aux guitares Adrian Vandenberg et
Steve Vai, fort peu à son aise dans ce registre.
Ce disque apparaît plus comme une compétition
entre guitaristes
occasion manquée (une
fois de plus) davoir un « super »
album de la part dun « super »
groupe
. Le tout se noyant dans un heavy à
laméricaine des plus communs, et surtout
ennuyeux au possible. Lhisoire se termine
assez mal ... On retiendra : rien
du tout. (judgement day peut être ?)
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