| THE
SILENT ENIGMA 1995 
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Le premier
disque avec Vincent au chant. Anathema reste un
groupe de métal sur celui ci. Le chant est
souvent caverneux, les tempos sont lourds et
perpétuent la tradition dans laquelle le groupe
évolue depuis ses débuts. Néanmoins, on sent
le changement : des titres comme restless
oblivion, dying wish ou encore nocturlan
emission sont annonciateurs de quelque chose
à venir, d'un changement probable. C'est un
bon disque de métal, pas un grand disque de
Anathema
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| ETERNITY
1996 
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Changement
de ton, désormais, la musique du groupe se
diversifie et touche d'autres atmosphères. Sentient,
instrumental qui débute l'album, est très clair
à ce niveau là. Les tempos se font parfois plus
lent, les ambiances plus mélancoliques et
dépouillées. Ce disque est le début du second
Anathema. On découvre un groupe qui joue sur
plusieurs registres : celui de l'apaisement - Angelica
ou far away, celui de la révolte - the
beloved ou eternity II, celui de l'espoir
! - hope ( signé par Gilmour ), celui du
désespoir enfin - suicide veil ou radiance.
Un très grand disque. |
| ALTERNATIVE
IV - 1998 
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La
direction devient très claire, Anathema nous
gratifie d'un rock de moins en moins métal et de
plus en plus aérien. Les titres fragile
dreams et empty sont devenus de
véritables standards du groupe, toujours jouée
sue scène. Le disque contient aussi d'autres
sommets, on ne peut résister à la tristesse de regrets,
à la folie de alternative 4, à l'angoisse
de destiny, ou encore à la révolte de lost
control ou de feel. C'est le
dernier album de Duncan avec Anathema, celui ci
partira juste après fonder anti matter.
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| JUDGEMENT
1999 
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Anathema
quitte définitivement le monde du métal et nous
offre ici une œuvre remarquablement aboutie.
Tout y est sublime, du mini concept au début de
l'album ( deep - pitiless - forgotten heroes -
destiny is dead ) au deux instrumentaux qui
clôturent la galette. Il faut s'attarder sur one
last goodbye, chanson sublime écrite en
hommage à la mère des frères Cavanagh
décédée peu de temps avant l'enregistrement.
Ne pas oublier non plus parisienne moonlight
et don't look too far qui introduisent une
voix féminine d'une douceur inouïe. |
| A
FINE DAY TO EXIT 2001 
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La route
se fait longue jusqu'au succès ! Le métal est
loin derrière, on peut parler réellement d'un
style Anathema, unique, beau, inimitable. Voilà
ce qu'ont réussi les frères Cavanagh et leurs
acolytes. Ici, vraiment, tout touche au sublime.
On ne peur résister à l'épreuve de pressure,
release, et autres temporary peace. C'est
un disque, plus que jamais, qui s'écoute du
début à la fin, qui se respire, qui se vit.
Exceptionnel. |
| A
NATURAL DISASTER 2003 
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Retour non
pas à la case départ, mais à certaines
influences qu'on croyait égarées à jamais ....
Anathema nous reparle métal sur cet album ! Il n'oublie
pas pour autant ces longues fresques nostalgiques.
Côté nouveauté, un penchant de plus en plus
affirmé pour les boucles électroniques, et l'affirmation
de Danny au chant. Un grand disque une fois de
plus ... ceci devient lassant ! |
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